Siguiendo con mi anterior entrada sobre la precariedad de los buques "coloniales" franceses, transcribo a continuación un resumen de su situación actual.
"Aujourd’hui, la situation se présente ainsi :
- Nouvelle Calédonie : 1 frégate de surveillance, 1 B2M, 2 vieux patrouilleurs P400
- La Réunion : 2 frégates de surveillance, 1 B2M, 1 vieux patrouilleur
- Antilles : 2 frégates de surveillance, le Batral a désarmé en juin dernier - après avoir été déjà prolongé de trois ans - et ne sera remplacé par un B2M qu’ à l’été 2019. Il y a bien un « trou capacitaire ».
- Tahiti : 1 frégate de surveillance, 1 B2M, 1 vieux patrouilleur
- Guyane : 2 nouveaux patrouilleurs légers guyanais (PLG) à faible tirant d’eau, qui ont remplacé les 2 P400. Avec ces conditions spécifiques (faible fonds, port en eaux peu profondes), la Guyane a des besoins spécifique et le retour d’expérience de ces nouveaux patrouilleurs es tjugé « bon » par la Marine."
Coronel Von Rohaut
(PS) A señalar que los nuevos B2M son unos buques multimisión pero no tienen la capacidad de "plageage" (varado en playa para descargar mediante el abatimiento de su compuerta delantera) que tenían los viejos "Batral".
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